QUELLES SONT LES ORIGINES DE NOS COMPORTEMENTS
« On se prend souvent pour quelqu'un, alors qu'au fond, on est plusieurs… »
Raymond Devos
L’ÉVOLUTION EN MÉMOIRE
De toute évidence, les reptiles et les mammifères ont considérablement évolués en plusieurs millions d’années.
Comme tous les vertébrés, ils ont développé des structures cérébrales équivalentes à celles des humains. Ils sont donc intelligents et dotés de sentiments à des degrés différents selon les espèces.
RÉSISTANCE FACE AU CHANGEMENT
Le cerveau reptilien trouve sa sécurité dans la routine. Pour lui, tout changement est une menace, vécue comme un petit traumatisme.
Tant que ses objectifs sont alignés avec ceux du cerveau limbique, tout fonctionne sans conflit.
C’est pourquoi nous restons souvent attachés à certaines habitudes, même lorsqu’elles nous pèsent ou nous freinent.
Mais quand le désir de changement émerge — porté par la réflexion du néocortex et les élans du cœur limbique — le reptilien, lui, entre en résistance.
Tant que ses objectifs sont alignés avec ceux du cerveau limbique, tout fonctionne sans conflit.
C’est pourquoi nous restons souvent attachés à certaines habitudes, même lorsqu’elles nous pèsent ou nous freinent.
Mais quand le désir de changement émerge — porté par la réflexion du néocortex et les élans du cœur limbique — le reptilien, lui, entre en résistance.
Il enclenche un dialogue intérieur négatif :
« Tu ne vas pas y arriver. »
« Tu n’y es jamais parvenu. »
« Ce n’est pas pour toi. »
« Tu ne vas pas y arriver. »
« Tu n’y es jamais parvenu. »
« Ce n’est pas pour toi. »
Il tente d’effrayer le limbique, de le rallier à nouveau à sa quête de sécurité… pour empêcher l’évolution.
Pour dépasser cette opposition sans mal-être, il est essentiel de réconcilier le dialogue intérieur :
et permettre au changement d’émerger naturellement.
Pour dépasser cette opposition sans mal-être, il est essentiel de réconcilier le dialogue intérieur :
- Entre la partie consciente (le néocortex)
- Et les parties inconscientes (reptilien et limbique)
et permettre au changement d’émerger naturellement.
EN CONCLUSION
Comprendre les rouages subtils de notre cerveau, c’est poser un regard plus doux sur soi-même.
Ce n’est pas “être trop sensible” ou “trop compliqué”… c’est souvent juste que nos trois voix intérieures ne sont pas encore pleinement accordées.
Ce dialogue entre l’instinct, l’émotion et la raison est au cœur de notre humanité.
Il ne s’agit pas de “changer qui l’on est”, mais plutôt d’apaiser les conflits intérieurs, de retrouver l’alignement,
et de s’autoriser à évoluer… sans se juger.
L’hypnose peut être un pont entre ces dimensions. Une main tendue, douce et lucide, pour que la transformation ne soit plus un combat, mais une naissance intérieure.
Comprendre les rouages subtils de notre cerveau, c’est poser un regard plus doux sur soi-même.
Ce n’est pas “être trop sensible” ou “trop compliqué”… c’est souvent juste que nos trois voix intérieures ne sont pas encore pleinement accordées.
Ce dialogue entre l’instinct, l’émotion et la raison est au cœur de notre humanité.
Il ne s’agit pas de “changer qui l’on est”, mais plutôt d’apaiser les conflits intérieurs, de retrouver l’alignement,
et de s’autoriser à évoluer… sans se juger.
L’hypnose peut être un pont entre ces dimensions. Une main tendue, douce et lucide, pour que la transformation ne soit plus un combat, mais une naissance intérieure.